Excellent article de « Gerry Nolan » pour The Islander
« ... Le message est clair : la confrontation tant redoutée d'Israël avec l'Iran ne consiste plus à projeter une puissance débridée ; il s'agit de gérer le contrecoup d'un ennemi qui s'est fortifié sous les yeux du monde multipolaire.
A l’heure où les BRICS remodèlent les structures du pouvoir mondial, l’Iran se montre plus fort et plus audacieux, et n’est plus la cible isolée des ambitions occidentales.
Alors que le sommet de Kazan a mis en évidence l’influence croissante des BRICS, Israël se trouve dans des eaux troubles, s’accrochant aux vestiges d’une domination occidentale en déclin.
La « retenue stratégique » d’Israël et ses avertissements en coulisses ne sont pas des gestes diplomatiques, mais des signes de la perte de courage d’un empire conscient des conséquences d’une mise à l’épreuve de la nouvelle puissance de l’Iran.
De la défaite inévitable en Ukraine à l’humiliation en Afghanistan, et maintenant à la position précaire d’Israël, nous assistons à un effondrement au ralenti.
Les tentatives frénétiques d’Israël pour projeter son contrôle reflètent le démantèlement d’un ordre hégémonique tout entier, incapable de s’adapter à un monde où ses menaces résonnent creux face aux véritables puissances montantes.
L’ironie du sort est difficile à ignorer. Les frappes israéliennes s’accompagnent d’un blitz médiatique, « rapportant » chaque détail des mesures de limitation et de contrôle des dégâts. Israël parle de frapper des « installations de fabrication de missiles », mais évite les infrastructures critiques ou toute cible susceptible de provoquer véritablement la colère de l’Iran.
Le résultat ?
Une opération creuse dont le véritable objectif semble être de sauver la face plutôt que de monter en puissance pour obtenir la victoire.
Après tout, la dernière chose que Bibi puisse se permettre est le cauchemar d’une réponse tous azimuts de l’Iran, du Hezbollah et de l’Axe de la Résistance avec un signe de tête d’approbation discret de la Russie et de la Chine.
Les actions d'Israël sont plus qu'un simple théâtre militaire, elles sont les agitations anxieuses d'un empire en retraite, terrifié par ce qui se passera lorsque ceux qu'il a autrefois soumis commenceront à riposter avec une puissance qui ne peut être étouffée par une seule frappe aérienne..."
A l’heure où les BRICS remodèlent les structures du pouvoir mondial, l’Iran se montre plus fort et plus audacieux, et n’est plus la cible isolée des ambitions occidentales.
Alors que le sommet de Kazan a mis en évidence l’influence croissante des BRICS, Israël se trouve dans des eaux troubles, s’accrochant aux vestiges d’une domination occidentale en déclin.
La « retenue stratégique » d’Israël et ses avertissements en coulisses ne sont pas des gestes diplomatiques, mais des signes de la perte de courage d’un empire conscient des conséquences d’une mise à l’épreuve de la nouvelle puissance de l’Iran.
De la défaite inévitable en Ukraine à l’humiliation en Afghanistan, et maintenant à la position précaire d’Israël, nous assistons à un effondrement au ralenti.
Les tentatives frénétiques d’Israël pour projeter son contrôle reflètent le démantèlement d’un ordre hégémonique tout entier, incapable de s’adapter à un monde où ses menaces résonnent creux face aux véritables puissances montantes.
L’ironie du sort est difficile à ignorer. Les frappes israéliennes s’accompagnent d’un blitz médiatique, « rapportant » chaque détail des mesures de limitation et de contrôle des dégâts. Israël parle de frapper des « installations de fabrication de missiles », mais évite les infrastructures critiques ou toute cible susceptible de provoquer véritablement la colère de l’Iran.
Le résultat ?
Une opération creuse dont le véritable objectif semble être de sauver la face plutôt que de monter en puissance pour obtenir la victoire.
Après tout, la dernière chose que Bibi puisse se permettre est le cauchemar d’une réponse tous azimuts de l’Iran, du Hezbollah et de l’Axe de la Résistance avec un signe de tête d’approbation discret de la Russie et de la Chine.
Les actions d'Israël sont plus qu'un simple théâtre militaire, elles sont les agitations anxieuses d'un empire en retraite, terrifié par ce qui se passera lorsque ceux qu'il a autrefois soumis commenceront à riposter avec une puissance qui ne peut être étouffée par une seule frappe aérienne..."
Source : Nouvelles de Palestine
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